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« 10 Jours sans Maman » une comédie de Ludovic Bernard au cinéma le 19 février

Actu cinéma : Franck Dubosc dans son nouveu film « 10 Jours sans Maman »

10 Jours sans Maman

« 10 Jours sans Maman » au cinéma le 19 Février 2020

Un film de Ludovic BERNARD

Synopsis :

Antoine, DRH d’une grande enseigne de bricolage, est en passe de devenir le numéro 1 de sa boîte. C’est le moment que choisit sa femme Isabelle pour faire une pause et prendre l’air quelques jours pour s’occuper d’elle. Antoine se retrouve alors seul à devoir gérer la maison et leurs 4 enfants. Il est vite dépassé par les événements ! 10 jours sans maman qui risquent bien de faire capoter sa nomination.

10 Jours sans Maman

Distribution :

Franck DUBOSC : Antoine
Aure ATIKA : Isabelle
Alice DAVID : Julia
Alexis MICHALIK : Di Caprio
Hélène NOGUERRA : Audrey
Rodolphe BORGNIER : Actionnaire

Voir la Bande Annonce « 10 Jours sans Maman » un film de Ludovic Bernard

Interview Ludovic Bernard (extraits) :

Comment l’idée de 10 JOURS SANS MAMAN est-elle née ?
Il s’agit, en fait, du remake d’un film argentin. Romain Brémond et Daniel Preljocaj mes producteurs l’avaient apprécié et ils me l’ont montré en pensant que cela pouvait me séduire. Je suis immédiatement tombé amoureux de cette histoire que j’ai trouvée très drôle et qui proposait un fond émotionnel, voire un soupçon de gravité, très intéressants. Autant d’ingrédients que j’aime retrouver dans les comédies. Si je suis friand des gags et des situations comiques, j’aime qu’il y ait autre chose d’autre, en filigrane. Ici, il est question finalement de la rédemption d’un homme, d’un père. Va-t-il être capable de changer, de s’occuper réellement
de ceux qu’il aime ?

10 Jours sans Maman

10 JOURS SANS MAMAN, c’est sous-entendu comment papa va-t-il se débrouiller pendant ces dix jours ?

Exactement. Isabelle son épouse a décidé quelques années auparavant d’arrêter son travail d’avocate pour gérer quatre enfants et son mari, autant dire une vraie petite entreprise. Quand elle décide de prendre des vacances, juste pour elle, parce qu’elle n’en peut plus d’être transparente, il va devoir s’occuper de tout
alors qu’il ne s’est jamais occupé de rien. Je sais à quel point cela représente de boulot.

Isabelle semble être le pilier de cette famille. Elle s’occupe de tout le quotidien, des contrats de son mari… Elle est en somme un peu exploitée, non ?

Elle est plutôt celle qui résout tout. C’est la maman qui sait, comme dans de nombreuses familles, et qui parvient à gérer immédiatement sans être dans l’excès. Alors qu’un père, s’il a l’esprit occupé, va souvent repousser à plus tard, répondre : « pas maintenant, reviens dans dix minutes, on verra ça demain. » À force de différer les réponses à leur questionnement, de ne rien régler, on court le risque de voir les enfants se détourner de vous. Il ne faut pas minimiser leurs interrogations. Ce qui peut nous paraître insignifiant sur le moment est souvent fondamental pour eux. Et puis, concernant les relations au sein de cette famille, j’ai eu en tête une pensée de Freud qui m’a toujours beaucoup amusée et qui dit en substance que les parents sont un os à ronger pour les enfants…

Qui a-t-il de commun entre vos trois premiers films et celui-ci ? Est ce que ne sont au fond des histoires d’hommes qui se transforment par amour ?

Antoine se transforme. Redevenant ou devenant capable de donner de l’amour à ses enfants, il les transforme également. J’ai toujours raconté des histoires dans lesquelles la notion de changement tient une place importante puisqu’elle permet aux protagonistes qui partent du mauvais pied d’accéder à une vie nouvelle. Mais je n’y avais jamais songé de cette façon et effectivement, vous avez mille fois raisons : les femmes aident les hommes à s’élever. J’adhère totalement à cette pensée.

© Studio Canal

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